Nos écosystèmes sont des patrimoines précieux mais fragiles, nous agissons en protégeant les espèces, en faisant des suivis scientifiques et des inventaires de la faune et de la flore qu’ils abritent.
Nous sommes une force de proposition et de pression au travers de notre présence dans les commissions, mais aussi par des rendez-vous régulier avec les décideurs départementaux.
Nous rencontrons ainsi dans ce cadre le Préfet, les Députés, le Président du Conseil Général, les Présidents d’EPCI, les maires des communes à enjeux.
Ceci se fait notamment par la gestion d’un site naturel (la création en 1981, de la Réserve Naturelle Volontaire, devenue Réserve Naturelle Régionale en 2005 est la seule de notre département).
Cette réserve de 12 ha permet d’apprendre l’évolution des forêts anciennes. En partenariat avec la Région, le Conseil Départemental et les communes avoisinantes, nous travaillons sur le volet ouverture au publique, pour qu’elle soit aussi un vecteur de d’éducation.
Elle propose des alternatives pour l’aménagement et le développement de notre territoire au sein de commissions et d’instances officielles comme de l’urbanisme, des déchets, etc , lui permettant de jouer un rôle important dans le débat environnemental. La FRAPNA conduit des actions contentieuses sur le territoire de l’Ardèche grâce à la mobilisation de ses bénévoles et salariés naturalistes, et d’une stagiaire juriste.
Au delà de son action de restauration de milieux qui permet à tous de mieux comprendre les enjeux de préservation de la Nature, l’équipe pédagogique de la FRAPNA sensibilise notamment les plus jeunes.
L’association sensibilise environ 4 500 enfants par an et anime un réseau d’éducation à l’environnement composé de ses structures membres. Il a pour objectif de coordonner notre action sur le territoire de la Ardèche.
Chaque année la FRAPNA informe, sensibilise plus de 2 500 personnes appartenant au département de l’Ardèche. Elle met en oeuvre des actions de découverte de la Nature sur le département. Une quinzaine de dates par an sont proposées aux adhérents et aux non adhérents de l’association.
Agréée au titre de la protection de la Nature et de l’Education Populaire.
la FRAPNA 07 souscrit au contrat d’engagement républicain.
« Partout où la nature a besoin de nous »
France Nature Environnement Auvergne-Rhône-Alpes est présente en proximité sur le terrain comme au niveau régional. Elle réunit 8 fédérations territoriales et 1 association régionale qui se mobilisent pour une cause environnementale spécifique. Une dizaine d’associations correspondantes partagent régulièrement nos préoccupations. Une équipe fédérale, composée de près de 135 administrateurs bénévoles et de 85 salariés, s’y investit au quotidien.
« Notre diversité est notre force »
Notre mouvement réunit des milliers de militants, bénévoles ou salariés, qui s’engagent dans plus de 178 associations.
Certains membres sont généralistes et œuvrent dans tous les domaines de la protection de l’environnement, à l’échelle de leur département ou de leur territoire. D’autres sont spécialisés et se concentrent sur un sujet spécifique. Leurs modes d’actions sont multiples : leurs militants informent les citoyens, rencontrent les élus et les décideurs, mènent des actions de terrain (nettoyage de sites, inventaires naturalistes…), gèrent des espaces protégés ou encore participent aux débats et consultations publiques.
Cette diversité fait toute la richesse de la fédération. Ensemble, nous poursuivons le même but : faire progresser la protection de la nature et de l’environnement en France, convaincus que la parole d’une fédération est toujours plus puissante que la somme des paroles individuelles.
La FRAPNA Ardèche conserve son nom mais elle est fédérée à France Nature Environnement Auvergne Rhône-Alpes.
Notre siège est situé 47 rue Jean-Louis Soulavie, à Largentière 07 110
Contactez-nous si vous souhaitez venir nous rencontrer, pour des questions pratiques et sanitaires (liées à la crise COVID 19) nous n’accueillons pas de public sans rendez-vous.
L’équipe salariée
Une équipe de salariés met en œuvre les programmes et orientations décidés par le Conseil d’Administration.
Noémie Bencteux / compta(at)frapna-aura.org
Emmanuelle Crolla / ardeche(at)frapna-aura.org
Alain Ladet / alain.ladet(at)wanadoo.fr Corinne Bauvet / corinne.bauvet(at)wanadoo.fr : 04 75 37 64 41 / 06 37 30 64 33
Léa Rami : chargée de mission Forêt et animatrice de l’OFA (Observatoire des Forêts d’Ardèche) etudes-ardeche(at)frapna-aura.org
Édith Guinchard / eau-ardeche(at)frapna-aura.org 06 60 73 07 48
Des stagiaires et volontaires en services civiques participent régulièrement aux actions de l’association.
Notamment une mission de volontariat est régulièrement proposée dans le cadre de l’enquête Participa’Sylve pour inventorier les vieilles forêts d’Ardèche : foret-ardeche(at)frapna-aura.org
Consultez notre dernier rapport d’activité ici
FRAPNA Ardèche : 47, rue Jean-Louis Soulavie, 07110 LARGENTIERE
courriel : ardeche(at)frapna-aura.org
Accueil : 04 75 93 41 45
La FédéRation des Associations de Protection de la Nature de l’Ardèche (FRAPNA 07) est une association à but non lucratif. De par ses statuts, la Frapna 07 a pour vocation la défense, la protection, la sauvegarde de l’environnement et du milieu naturel, de la faune et de la flore qu’il abrite dans le département de l’Ardèche. Pour atteindre les buts qu’elle s’est fixée, la FRAPNA 07 participe à toute initiative tendant à favoriser le développement d’une conscience écologique. Elle s’associe aux actions visant des buts similaires sur les plans régional, national ou international.
Toutes les informations sont dans notre rapport d’activité :
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Notre fédération Régionale, devenue FNE Aura en 2019 est elle-même fédérée à France Nature Environnement. Chaque section départementale fédère à son tour des associations membres et des structures et réseaux sympathisants.
La Frapna Ardèche est membre actif du collectif d’Éducation à l’environnement Pétale 07
La FRAPNA Ardèche dispose d’un Conseil d’administration et d’un bureau composés de bénévoles qui fixent les orientations de l’association et valide les différents programmes menés par les équipes salariées ou bénévoles de l’association.
Acteurs du dialogue environnemental, nous agissons pour la défense de l’intérêt général, non pour le compte d’une entreprise ou d’une catégorie de la population. Association reconnue d’intérêt général, nous gérons nos fonds avec toute la rigueur que ce statut impose.
En consultant notre rapport d’activité ou nos rapports financiers, vous pourrez accéder aux informations relatives à nos ressources, nos charges, notre bilan comptable ainsi que notre compte de résultat. Chaque année, nos comptes sont certifiés par un commissaire aux comptes indépendant. Celui-ci a le devoir de dénoncer toute irrégularité.
La Frapna Ardèche a officiellement vu le jour en mai 1977, à Privas. Composée de bénévoles souhaitant sensibiliser et combattre les projets portant atteinte aux espaces et aux espèces. L’association a traversé 4 décennies, a connu des périodes fastes et d’autres plus houleuses, aujourd’hui elle mobilise une quinzaine de bénévoles actifs, une équipe de salariés, volontaires, stagiaires et fédèrent plusieurs autres associations de protection de la nature.
Ses grands combats se sont déroulés sur le col de l’Escrinet, dans les Gorges de l’Ardèche, sur de nombreuses zones humides et autres espaces naturels remarquables de l’Ardèche.
Reconnue d’intérêt général, agréée au titre de l’éducation populaire, ses actions s’organisent autour de la connaissance et de la sensibilisation. Depuis 2004, une réflexion globale est menée pour comprendre et agir sur les mécanismes qui ont conduit notre société occidentale moderne sur une voie on ne peut plus hasardeuse… Cette réflexion a connu plusieurs titres et émergences, notamment les rencontres Nature Culture. Aujourd’hui, sous l’impulsion de Frédéric Jacquemart, notre président, diverses actions sont menées sous l’égide de la Métamorphose Culturelle.
Le principe de cette opération est non pas de proposer quelque chose de tout fait mais de provoquer un mouvement, d’être une étincelle, en quelque sorte.
Le constat est fait de l’action destructrice des activités humaines actuelles sur une nature qui nous permet de vivre. Un autre constat est fait également : celui du caractère inéluctable de ce processus. Nulle réforme ne peut durablement changer le cours des événements. Il s’en suit un fatalisme grandissant et démobilisateur, à un moment où, tout au contraire, il est nécessaire d’unir nos efforts pour traverser cette « métamorphose » que proposent le GIET et la FRAPNA. En effet, si la dynamique issue de notre culture (mondialisée) est auto-entretenue et inéluctable, cette culture, au sens de mode de penser, n’est pas la seule possible. La voie apparemment sans issue s’ouvre alors vers des perspectives passionnantes, puisqu’elles permettent de donner un sens à la mise en commun de ce que chacun a de meilleur. Un tel effort n’est possible que s’il y a le feu au lac, or, il y a le feu au lac.
La démocratie réelle se distingue de la démocratie participative en ce que cette dernière concerne la participation de citoyens à un débat qui est énoncé dans les termes de la culture dominante actuelle, et ce faisant, la conforte. La démocratie réelle est mise en place par les citoyens et concerne le contexte de sens.
En résumé, la métamorphose culturelle par la démocratie réelle consiste en une déconstruction des a priori de la culture dominante, pour laisser émerger une autre culture, encore inconnue, à partir des activités humaines globales. Des exemples ont été donnés, qui permettent déjà de lancer réflexions et actions, car l’action est autant nécessaire que la théorie, pour que cette dernière puisse prendre corps. La phase de pessimisme résigné s’achève, et avec elle le réformisme et les « solutions » politiques, pour laisser place à un bouillonnement créatif radicalement nouveau, pour une culture nouvelle, ou des cultures nouvelles : qui sait ce que sera l’avenir ?
Pourquoi l’art ?
Une culture est faite à la fois d’explicitable, de global et d’indicible. Nous pensons, notamment à la suite des travaux du GIET sur le sens, que l’indicible représente l’essentiel d’une culture. Rester dans le discours ne fait donc que conforter ce qu’on remet en question.
L’art, en tout cas certaines formes d’art, permet de mobiliser le non dit, explicitable ou indicible. Ce qui ne peut se dire réside entre les mots ou dans les formes, leur donnant sens, d’ailleurs.
Il suit de tout cela que l’art, considéré comme subalterne dans notre civilisation, doit prendre la place première, qualitativement et quantitativement, collectivement.